Cafés mortels, ateliers et conférences
pour apprivoiser la mort ensemble.
Des rencontres conviviales pour parler de la mort autour d'un café ou d'un thé, sans tabou ni jugement.
Des séances pratiques sur des thèmes précis : directives anticipées, communication en fin de vie, rituels...
Des présentations pour découvrir le rôle de la thanadoula et sensibiliser à l'accompagnement de fin de vie.
Des espaces d'échange pour les personnes endeuillées ou les proches aidants.
Un espace chaleureux pour échanger librement sur la mort, le deuil et la finitude. Pas de conférence, pas de morale — juste un cercle de vivants rassemblés pour dire et écouter.
En présentielUn atelier pratique pour comprendre ce que sont les directives médicales anticipées, pourquoi elles sont importantes et comment les rédiger. Repartez avec votre document complété.
En ligneQu'est-ce qu'une thanadoula? Comment accompagne-t-elle les personnes en fin de vie et leurs proches? Une conférence pour découvrir ce métier encore méconnu au Québec.
En présentielComment aborder le sujet de la mort avec ses proches? Comment parler de la fin de vie avec ses parents vieillissants? Un café mortel thématique pour ouvrir le dialogue en famille.
En présentielLes rituels nous aident à traverser les passages difficiles. Dans cet atelier, apprenez à créer des rituels personnalisés pour honorer la mémoire d'un proche ou marquer une transition.
En ligneVous souhaitez organiser un café mortel, un atelier ou une conférence pour votre organisation, votre entreprise ou votre groupe? Je me déplace dans la région de Québec ou j'anime en ligne pour des groupes partout dans le monde.
Le concept du café mortel a été créé en 2004 par le sociologue suisse Bernard Crettaz. L'idée est simple : offrir un espace convivial où l'on peut parler librement de la mort, sans tabou, sans agenda, sans jugement.
Ce n'est pas un groupe de thérapie ni une conférence. C'est simplement un cercle de vivants qui se rassemblent pour partager leurs réflexions, leurs expériences et leurs questions sur ce sujet universel mais si souvent évité.
Depuis, le mouvement des « Death Cafes » s'est répandu dans plus de 85 pays, avec plus de 16 000 événements organisés. Les études montrent que 80% des participants ressentent ensuite une plus grande volonté de parler de la mort.
